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Une forêt…une légende

 

Einion et la Dame de la Forêt de Greenwood

C’est une animation donc il suffit de patienter pour lire la suite! 😉

Police  titre

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Be prepared…

 

 

Dans la mythologie celtique irlandaise, Samain, ou Samhain, est la fête religieuse qui célèbre le début de la saison « sombre » de l’année celtique (pour les Celtes, l’année était composée de deux saisons : une saison sombre et une saison claire). C’est une fête de transition – le passage d’une année à l’autre – et d’ouverture vers l’Autre Monde, celui des dieux. Elle est mentionnée dans de nombreux récits épiques irlandais car, de par sa définition, elle est propice aux évènements magiques et mythiques. Son importance chez les Celtes est incontestable, puisqu’on la retrouve en Gaule sous la mention Tri nox Samoni (les trois nuits de Samain), durant le mois de Samonios (approximativement le mois de novembre), sur le Calendrier de Coligny.

Les moines irlandais qui ont mis par écrit les coutumes celtiques, à partir du VIIIe siècle, ont précisé que le jour de Samain est (selon notre calendrier moderne) le 1er novembre. La fête elle-même dure en fait une semaine pleine, trois jours avant, et trois jours après. Pour les Celtes, cette période est entre parenthèses dans l’année : elle n’appartient ni à celle qui s’achève ni à celle qui va commencer ; c’est une durée autonome, hors du temps. C’est le passage de la saison claire à la saison sombre, qui marque une rupture dans la vie quotidienne : la fin des conquêtes et des rafles pour les guerriers et la fin des travaux agraires pour les agriculteurs-éleveurs, par exemple. C’est le moment de l’année où la Déesse de l’été transmet son pouvoir au Dieu de l’hiver, le Dieu Cornu.

Le nom de Samain signifie « réunion », c’est une fête obligatoire de toute la société celtique qui donne lieu à des rites druidiques, des assemblées, des beuveries et des banquets rituels ; son caractère religieux la place sous l’autorité de la classe sacerdotale des druides et la présidence du roi, toute absence est punie de mort. Cette assemblée religieuse et sociale a progressivement disparu avec la christianisation, mais reste attesté jusqu’au XIIe siècle dans la littérature médiévale irlandaise.

La notion de passage se retrouve aussi à ce moment, entre le monde des humains et l’Autre Monde résidence des dieux (le Sidh). On a relaté l’aventure de héros, ou d’hommes exceptionnels, qui se rendent dans le Sidh (généralement à l’invitation d’une Bansidh), et y passent quelques agréables heures. Le temps des dieux n’étant pas le même, leur séjour est, en fait, de plusieurs siècles et, quand ils reviennent chez eux, ils ne peuvent vivre puisqu’ils sont morts depuis longtemps.

Les anciens affirmaient que c’est au cours de cette nuit-là que le voile entre notre monde et celui des esprits est le plus mince, et que, par conséquent, les âmes des morts peuvent revenir sur la terre pour quelques heures. Ainsi, du coucher du soleil jusqu’à minuit, la communication avec les esprits est facilitée. Quant à la tradition des citrouilles sculptées dans lesquelles on place une chandelle, elle provient d’Écosse, où l’on croyait que les figures hideuses feraient peur aux esprits malveillants qui tourmentent les gens en cette nuit parce qu’ils n’ont pas trouvé le repos éternel.

 

 

Activites proposees :

allumez un feu central, faites un rituel en expliquant vos objectifs pour l’annee suivante

Laisser une assiette de nourriture dehors pour les ames errantes des defunts

Se promener et admirer les couleurs de l’automne

Enterrer des pommes ou des grenades pour nourrir les esprits sur le chemin de la renaissance

Ne pas ramasser le mais restant dans les champs (c’est tabou, il faut le laisser aux esprits)

Laisser une place a table pour les defunts

Decouper des pommes

Fabriquer des lanternes en citrouille

Boire du cidre chaud avec de la cannelle ou de l’hydromel pour honorer les morts

Fabriquer une bougie pour les esprits :
Bougie blanche ointe avec de l’huile de patchouli , dire : ” Que la lumière de cette bougie vous souhaite la bienvenue, ames celestes, venez en paix en cette nuit de Samonios ", placer la bougie a l’interieur d’une lanterne

Feter la nouvelle annee

Preparer les bougies rituelles que vous utiliserez pendant l’annee

Prendre des resolutions
Les ecrire sur un parchemin et les bruler a une bougie noire votive placee dans le chaudron sur l’autel

S’embrasser sous le gui (pratique de nouvel an celte)

 

Les plantes :

Les plantes du moment, celle qu’on trouve chez vous a cette periode, et sinon : le gui de chene, l’armoise sechee (la fraiche a disparu), Belladone, Mandragore, Jusquiame, houx, brin de resineux etc.

 

 

Les couleurs :

Le noir, le blanc, l’orange

 

 

Recettes des pretresses :

Toute la nourriture du moment : soupe poireaux-oignons-pommes de terre, gateau pomme noix, pains farines diverses, pain d’epice …

http://brumesdavalon.spaces.live.com/blog/cns!953840B63CE84F1A!869.entry

 

 

 

 

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« Qui veut devenir dragon doit manger d’abord beaucoup de petits serpents. » – Proverbe chinois

Les Dragons

   Le dragon est une créature mythique, représentée comme une sorte de gigantesque reptile. Dans de nombreuses mythologies à travers le monde, on retrouve de telles créatures, possédant plus ou moins de caractéristiques similaires, désignées comme dragons.

   De par son apparence reptilienne, le dragon est intimement lié à la terre. Cependant il se détache du monde terrestre par sa capacité à voler, ce qui le distingue des rampants, de l’image des serpents (plus souvent malfaisants) que l’on retrouve de par le monde (nâga, Aspic,…). Ces derniers s’opposent, au contraire, aux créatures aériennes, physiquement ou symboliquement: Horus dieu faucon fils de Ré l’adversaire d’Apophis le serpent, Garuda aigle géant combattant les serpents nâga,…

   Ses représentations varient cependant énormément en fonction des civilisations. Symbole de vie et de puissance en Chine, protecteur en Indonésie, protecteur de trésors en Grèce antique ou encore maléfique et ravisseur de princesses en Europe médiévale.

   Une distinction principale est à faire entre les dragons occidentaux et les dragons orientaux, comme les ryuu (竜) japonais ou lóng (龍trad. 龙simpl.) chinois.

   Il est difficile de déterminer une origine géographique ou historique aux dragons. Leur apparition semble dater des premières civilisations. Une filiation avec les grands reptiles disparus au Crétacé est cependant difficilement imaginable. [2] Bien entendu il faut exclure le fait que les premiers hommes aient côtoyés les dinosaures (comme cela est parfois représentés dans les films), plusieurs millions d’années les séparant. L’hypothèse selon laquelle les fondateurs des premières civilisations auraient trouvé des ossements de dinosaures semble tout aussi incertaine. Il est en effet assez rare de trouver ces fossiles à l’air libre, dégagés par l’érosion. Cela n’expliquerait donc pas l’universalité du mythe.

   

   De manière plus probable, les dragons apparaissent, sous une forme ou une autre, en même temps que les autres monstres de l’imaginaire. Les plus anciennes traces connues remontent à 6000 ans environ, dans une tombe néolithique de Xishuipo, site archéologique de la province du Henan, en Chine: formée de coquillages, sa forme se détache nettement aux côtés du défunt. La découverte de cette tombe date des années 1980.
Une autre représentation, vieille de 2500 ans, constituée de briques de couleur, fut découverte sur les murs de la porte d’Ishtar, une des monumentales portes de Babylone.

   Cependant, il s’agit là d’une figure religieuse imaginaire, tout comme le sont le sphinx, les sirènes ou toute autre créature fabuleuse. Celles-ci s’appuient davantage sur des espèces animales existantes, que l’homme hybride à sa fantaisie, que sur la découverte d’un squelette gigantesque de dinosaure (il est d’ailleurs décrit comme "un animal fantastique (…) avec des griffes de lions , des ailes et une queue de serpent" dans le Larousse). On trouve ainsi des monstres aux formes semblables, mais néanmoins différents, dans presque toutes les cultures antiques, et ces mythes se sont par la suite "contaminés" les uns les autres, pour s’approcher de la figure actuelle, désormais universelle.

Dragon occidental

   Dans la tradition occidentale (mythologie grecque, celtique et nordique), il s’agit d’une créature reptilienne ailée et soufflant le feu, évoquant souvent les principes chaotiques et primitif. Nombre de héros ou dieux devront se mesurer à eux afin d’établir l’ordre sur le monde. Ce sont avant tout des créatures liées à la terre et au feu, symbole de la puissance des forces naturelles. Il rejoint par ces caractéristique les anciennes créatures chthoniennes à l’allure de serpents des mythologies indo-européennes: Apollon combattait Python (mythologie), Krishna rivalisait avec Kaliya, Ré luttait contre Apophis,…

   Ils garderont par après cet aspect sauvage à des fins plus matérielles la plupart du temps associées à la surveillance de quelque chose. Cette caractéristique est inscrite dans le nom même du dragon: l’origine du mot grec drakon (δράκων)dérive de drakein (δρακείν) provenant lui même du verbe derkomai (δέρκομαι) qui signifie voir, regarder.

Dragon asiatique

   Contrairement à son pendant européen, le dragon asiatique, bien qu’associé aux forces de la nature, est dangereux mais pas vraiment hostile. Ils ne montrent pas le caractère souvent violent des dragons occidentaux. Ils diffèrent aussi de par leur apparence: ils sont plus fins et aériens et ne possèdent pas spécialement d’ailes. On retrouve une représentation fort semblable du dragon notamment en Chine, au Japon, en Corée et au Vietnam. Ses caractéristiques physiques et symboliques ne varient que de façon minime entre ces civilisations: esprits associés au climat, ils sont puissant et vénérés. On les associe régulièrement au pouvoir en place.

 

 

La dracologie

Inventée en 1762 par le baron Jacques d’Anjou, du latin draco (dragon) et du grec logos (science), la dracologie est la science axée sur l’étude des dragons.

L’homme fut de tout temps passionné par les dragons. Des traces datant du paléolithique démontrent qu’à cette époque reculée, les premiers hommes se passionnaient déjà pour ces créatures mystérieuses, les représentant avec virtuosité parfois, mais toujours avec passion sur de multiples supports. Les oeuvres les plus frappantes demeurant en France, notamment dans la grotte de Lascaux. (Le célèbre cheval renversé qui n’est autre qu’un Draco equiinversus, dragon ayant de fausses jambes sur le dos, rampant sur l’abdomen)

Les dracologues actuels s’interrogent toujours sur les tout débuts et la naissance de leur science, sans malheureusement pouvoir éclaircir la grande zone d’ombre. Mais comme pour bien d’autres domaines, jamais lumière ne pourra être faite. C’est pourquoi, malgré l’ancienneté de l’engouement des hommes pour les dragons, nous ne pouvons mettre de date précise ni de noms avant le XVIIIe siècle, en 1762 date à laquelle le baron d’Anjou, grand amateur de dragons de courses, décida de créer une école spécialisée pour instruire ses éleveurs et physiciens (ndl:médecins) dans la science de l’étude et des soins aux dragons.
L’école Dracologique eut un franc succès auprès de la noblesse française, les grandes familles d’éleveurs envoyant leurs meilleurs lads et palefreniers apprendre aux côtés des professionnels du baron d’Anjou. Rapidement, des fils et filles de France devinrent experts en la matière, s’exportant dans la France entière, les écoles fleurissant dans le pays au gré de la demande croissante. L’école Dracologique d’Anjou resta toujours la plus renommée et la plus recherchée de toute. Elle fut réservée par la suite aux nobles, jeunes et vieux qui souhaitaient s’instruire en la matière, devenant ainsi un des hauts lieux de la noblesse française du XVIIIe siècle.

Ainsi, fin XVIIIe début XIXe, des écoles en dracologie avaient fleuries en France, répandant savoir et connaissance auprès de la population. La dracologie était née.

La dracologie telle que nous la connaissons aujourd’hui fut mise au monde par quatre chercheurs de la fin du XIXe siècle, messieurs Ivan Halberik, François Bonfil, Elliot Fles et mademoiselle Alice Fles, fille d’Elliot.

Ivan Halberik (1808-1893)

Ivan Halberik était un éminent physicien, passionné par la mécanique des fluides. Il accompagna un jour sa femme à une exposition d’espèces rares de dragons et fut impressionné par un spécimen cracheur de feu. À l’âge de quarante cinq ans, il se découvrit une nouvelle passion dévorante. Depuis lors, il n’eut de cesse de comprendre les mécanismes permettant aux dragons de cracher le feu, et créa une nouvelle branche dans la dracologie, qui n’était vouée pour le moment qu’à l’élevage et les soins aux dragonidae. La branche qu’il créa évolua, et de nos jours, elle est représentée par les draco-physiologistes, ces hommes et femmes avides de comprendre le fonctionnement des dragons.
Les recherches d’Ivan eurent beaucoup de succès auprès des foules, qui voyaient déjà un avenir ou l’homme pourrait lui aussi cracher le feu ou voler sans ailes. Il mourut paisiblement entouré de ses petits enfants dans son manoir près de Paris, à l’âge avancé de 85 ans. Son seul regret, il n’avait toujours pas percé les mystères de son cracheur de feu.

François Bonfil (1820-1862)

Habile médecin de 25 ans, François Bonfil avait toujours gravité autour des dragons, son père étant un éleveur de dragons de garde et de guerre. Confronté aux retours de guerre des dragons de son père, mutilés et exténués, il décida de se consacrer aux soins des dragons, constatant le peu de capacités en la matière des dracologues éleveurs.
Son périple fut long et délicat, mais il réussi à convaincre les autorités que les dragons de guerre avaient eux aussi besoin de soins appropriés pour pouvoir résister aux dures conditions de guerre.
La médecine vétérinaire dracologique venait de naître. Il avait trente-trois ans quand Ivan Halberik décida de créer la branche des physio-dracologues (ou draco-physiologistes, c’est la même chose) et il apporta sa pierre à l’édifice, en enseignant tout ce qu’il connaissait de la physiologie des dragons de guerre aux jeunes chercheurs enthousiastes.
Son travail fit également des émules, ce qui le remplissait de joie. Il ne prit pas d’épouse, trop occupé par ses dragons pour pouvoir se consacrer aux joies de la famille. Il mourut prématurément à l’âge de quarante deux ans, emporté par la peste draconienne dont il venait tout juste de trouver le vaccin.
Une plaque de remerciements est scellée dans sa tombe, on lui décerna à titre posthume la médaille du mérite, son travail de fourmi sur la peste ayant permis de sauver de nombreuses vies, humaines comme draconiennes.

Elliot (1825-1898) et Alice Fles (1855-1953)

Elliot Fles était un grand explorateur. De l’Amazonie en Népal, aucun endroit praticable sur terre n’échappa à son investigation minutieuse et à son insatiable curiosité intellectuelle. Passionné par les dragons, il rapportait de ses voyages croquis, dessins et échantillons d’espèces exotiques et encore inconnues.
À trente ans, sa femme la douce Madeleine lui donna une fille, qu’il prénomma Alice. Père attentionné et fou de sa fille, il l’instruisit très tôt de ses plus grandes passions: les voyages et les dragons. La fillette était attentive, et brûla vite du même feu que son père. Lorsque celui-ci revenait de voyage, la jeune fille s’occupait de classer les notes de son père, s’amusant de ranger les dragons selon leur ressemblance. Sans le savoir, Alice venait de revisiter la systématique, l’adaptant au cas difficile des dragonidae. Adulte, elle accompagna son père dans ses pérégrinations, au grand damne de sa mère qui la voulait mariée. La pauvre femme se consola sur ses trois autres filles, qu’elle s’évertua avec succès à éloigner de l’influence paternelle.
Elliot Fles publia ses voyages (L’explorateur et les dragons) en 1875 sous la pression de sa fille, qui souhaitait que le travail de son père fut reconnu par la société dracologique. Le recueil rencontra un franc succès, les spécialistes comme néophytes pouvant admirer de somptueuses gravures de dragons encore méconnus.
La systématique venait de naître, ainsi que l’engouement pour la recherche de nouvelles espèces. C’est à partir de la publication du recueil que de nombreux jeunes dracologues décidèrent de se spécialiser dans la recherche et la classification des espèces de dragons.
En 1877 la première classification fut proposée, la Classification morpho-géographique. Elle subira de nombreux ajustements aux cours des années qui suivirent, mais ne fut que très récemment remplacée.
Elliot et sa fille voyagèrent jusqu’à ce que le vieil homme devint aveugle, devant par là même renoncer à ses passions. Le coup fut fatal pour Elliot, qui s’éteignit à l’âge de soixante-treize ans dans les bras de sa fille, dans la demeure familiale. La communauté scientifique porta le deuil une année entière, en mémoire du grand dracologue.
Alice Fles continua l’oeuvre que son père et elle avait commencée, soutenue et aidée par son mari, Benjamin Armand. La dracologie doit beaucoup à cette femme, qui donna une âme à cette science, et un esprit studieux et passionné. On lui doit de nombreux ouvrages scientifiques et de vulgarisation. Les grandes guerres du début XXe n’eurent aucun impact sur cette âme courageuse, qui continua son ouvrage jusqu’à sa mort, qui l’emporta par surprise alors qu’elle était en train de rédiger, à l’âge vénérable de quatre-vingt dix-huit ans son nouveau livre sur la classification des dragons orientaux.
Le travail phénoménal engendré par ces deux scientifiques et leurs émules un morceau d’Histoire, la dracologie actuelle n’aurait pas été ce qu’elle est sans eux.

La dracologie moderne

Comme nous venons de le voir, la dracologie moderne est la résultante de l’oeuvre des hommes et femmes courageux qui aimèrent les dragons plus que tout.
Du point de vue scientifique, grâce aux progrès en génétique (découverte des gènes et du code génétique) et en biochimie moléculaire (utilisation de marqueurs génétique et protéiques pour mettre en évidence la présence ou l’absence de caractères génétiques ou moléculaires recherchés) la vision de la classification des dragons connu un grand chamboulement.
On croyait que les dragons étaient de proches cousins des lézards et serpents, or il n’en était rien. Des études portés sur les sous-unités 18S des ribosomes de diverses espèces de dragons (out-group: le lézard de muraille) permirent de mettre en évidence que les dragonidae étaient certes des cousins de ces reptiles, mais des cousins très éloignés. (» voir explications sur les méthodes d’études pour ceux qui ne comprennent pas grand chose à ce qui est dit au dessus) Entre lézards et crocodiles, pour le moment, la position exacte des dragons au sein de la classification reste incertaine. Des études sont toujours en cours sur le sujet, qui sait, dans quelques années nous seront peut-être en mesure de répondre à cette grande interrogation.
En faisant des études pour classer les dragonidae par rapport aux autres êtres vivant, les scientifiques se rendirent compte qu’il y avait des aberrations. Sur les arbres phylogénétiques apparaissait clairement que des dragons orientaux magiques étaient plus proches des dragons terrestres que d’autres dragons magiques. Dans un premier temps, une erreur de manipulation fut pronée par les chercheurs, jusqu’à ce qu’ils se rendirent compte que l’aberration en question se reproduisait. Flairant la découverte du siècle, le laboratoire d’étude dracologique de Paris Centrale, sous la direction de l’énergique professeur Arthur travailla d’arrache pied sur le problème, passant des mois à collecter des échantillons de peau de différentes espèces de dragons et à ensuite les analyser. Ils remarquèrent rapidement que l’ancienne classification était erronée, et que les liens de parentés entre les espèces de dragons ne se portaient pas sur le genre de magie ou de capacités, mais bien sur le nombre et le type d’appendices que comptait le squelette des dragons.
Ainsi, en 1995 le professeur Arthur proposa au monde dracologique la nouvelle classification morpho-génotypique qui connu au bout d’une période d’adaptation de deux années (ou d’autres laboratoires tentèrent de la démonter sans succès) un franc succès et fut adoptée comme nouvelle classification. Depuis lors, les systématiciens et généticiens s’évertuent à replacer les dragons dans les bons taxons.

 

Sources : wikipédia, le labo de dracologie

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Amour et trahison…

 

La legende de Persine et Melusine

Elinas, roi d’Ecosse, a semé ses suivants au cours d’une partie de chasse. Il est maintenant seul, sur son cheval, au beau milieu de la forêt, gouttant à une tranquillité qui lui est assez peu familière. Il finit par déboucher dans une grande clairière au milieu de laquelle se trouve une fontaine.

La fée Persine, reine des fées d’Ecosse, s’y baigne. Elle n’entend pas le roi s’approcher, sans doute trompée par les éclats de la chasse qui se perdent dans le lointain. Elle est d’abord surprise, puis elle reconnait le roi qui reste interdit, bras ballants, devant une telle apparition…
    Le roi, en un clin d’œil, des sommets du pouvoir, des cimes de la richesse, tout roi qu’il est, le roi Elinas d’Ecosse tombe… en amour.
    La fée est sortie de la fontaine et se tient devant lui, magnifique et élancée, entièrement nue… Et le cœur d’Elinas bat la chamade, galope même !
Le cœur du roi se rend à cette femme qui semble si fragile
A cette reine de l’autre monde…

– Je m’appelle Persine, lui dit la fée. Je suis reine de mon peuple et nos deux destins sont désormais intimement entremélés. Je sais lire les signes et déchiffrer les coeurs, sans jamais me tromper… Et c’est là mon pouvoir ! Nous allons nous marier, ô roi… Mais avant tu dois me promettre, que jamais tu ne chercheras à me voir du temps de mes couches.

Ainsi parle la fée, et le roi fait le serment attendu.
    Les épousailles sont bientôt célébrées et le bonheur régne sur le pays. De leur union naissent trois filles : Mélusine, Mélior et Palestine. Il sont heureux…
Un temps…
    Mais le bonheur, ça ne peut que se flétrir. Comme une fleur.
     Mataquas, le fils maudit, premier né du roi, d’un premier mariage. Mataquas le jaloux, le fourbe… Mataquas pue-la-haine !

– Pourquoi donc, mon noble père, mon puissant roi, pourquoi cet interdit ? Il y a là-dessous, à n’en point douter, quelque mystère qu’on cherche à vous cacher, quelque trahison sur laquelle on ne voudrait pas que vous portiez les yeux, de peur de votre juste courroux. Ne point la voir du temps de ses couches… Vous êtes en votre royaume ! C’est vous qui commandez !

    Le roi est noble et fier, alors au tout début, il refuse d’écouter les paroles de son fils. Manquer à sa promesse, il n’en est pas question une seule seconde…
Mais deux secondes, déjà, c’est bien plus long…
Et les jours
Les mois
Et le venin qui coule intarissable…
Le venin
Qui coule
Intarissable
    Le roi est noble et fier, alors il finit par douter. Les démons le tourmentent et lui, seul, il résiste. Mais des démons, on en a toujours à ne plus savoir qu’en faire…
Elinas, roi d’Ecosse, car il est noble et fier, entre dans la chambre où Persine baigne ses trois petites.
Persine pousse un hurlement, et au dessus du bruit des larmes de ses filles, désespérée elle lance à Elinas :

– Tu m’as trahie et nos cœurs se déchirent ! Désormais, et par ta faute, je suis perdue pour toi !

     Sans un adieu, ni un dernier regard, elle s’envole en fumée avec ses enfants enveloppés dans une serviette rouge. La baignoire est vide, l’eau s’est évaporée, et l’on raconte qu’Elinas effondré l’a remplie de ses larmes.

    Persine s’en est allée dans l’île enchantée d’Avallon.

Elle y élève ses filles pendant quinze ans. Et chaque matin, un peu avant le jour, elle conduit Mélusine, Mélior et Palestine au sommet de la montagne Fleurie d’Eléonos. De là, elles contemplent le lever du soleil sur les rivages d’Ecosse que l’on devine au loin.

– Voyez, mes filles, c’est là que nous aurions dû vivre, heureuses, si votre père n’avait pas manqué à sa parole. La joie aurait été notre quotidien alors que désormais nous sommes condamnées à cette misérable condition…

     L’amertume, la nostalgie hantent le cœur de Persine qui ressasse sans arrêt le récit de sa tragique épopée.
Un jour, l’aînée, Mélusine, réunit ses deux sœurs en secret pour les entretenir d’un plan :

– Pendant ce temps qui est passé, j’ai bien réfléchi… Tout est la faute d’Elinas, notre père. Nous sommes maintenant versées dans les sciences magiques… Il serait juste qu’il paie encore plus durement le tourment dans lequel il nous a plongé.

     Les sœurs acquiescent ; le roi d’Ecosse se retrouve enfermé dans la montagne de Northumberland, que l’on appelle encore Brumblerio. A tout jamais…
Enfermé !
Les enfants sont cruels…

– Misérable filles ! leur dit leur mère quand elle apprend la nouvelle. Qui êtes-vous pour oser juger le destin ? Qui croyez-vous être pour vous substituer à son bras vengeur ? Qui pensiez-vous ainsi châtier ? Vous n’avez plus votre place sur l’île enchantée d’Avallon et nous devons ce jour nous séparer pour ne plus nous revoir.

Elle s’adresse alors plus particulièrement à Mélusine :

– Quant à toi, qui est la plus savante, toi par qui tout est arrivé, écoute maintenant quel est ton châtiment. Tu seras désormais, chaque samedi, Serpente du nombril jusqu’aux pieds. Si jamais tu viens à te marier, ton mari ne devra jamais te voir sous cet aspect ni connaître ton lourd secret. A cette condition tu vivras et mourras comme une femme, sinon tu connaîtras la solitude et les tourments sans fin ! Mais quoiqu’il en soit tu seras la source d’une noble et courageuse descendance qui commettra de hauts faits. Adieu, ma première fille, et ne reviens jamais…

     Les trois sœurs se sont séparées ; Persine, quant à elle, est restée en Avallon, toute seule avec ses souvenirs et son chagrin.
Mélior deviendra reine des étoiles filantes et Palestine princesse des cygnes blancs. Mais ce sont là d’autres histoires…
     La jeune Mélusine va par les chemins, elle arrive en terre de France et erre dans les forêts du Poitou. Au fil du temps, son cœur s’apaise et une belle nuit, elle lit dans les étoiles qu’elle est désormais capable d’aimer. Alors, comme le soleil se lève, du plus profond d’elle jaillit un rire pur et cristallin…
Et le temps passe encore et une belle nuit, elle lit dans les étoiles que désormais elle pourra elle aussi être aimée. Elle se rend alors à la fontaine de Sé, au milieu de la forêt de Colombiers. Là, elle quitte sa robe et entre dans l’eau claire pour s’y baigner au clair de la lune.
      Cette même nuit, le jeune Raymondin galope dans la forêt . Droit devant lui, il ne fait rien pour éviter les branchages qui viennent lui déchirer le visage. Il a mal, la douleur le déchire car la fatalité a fait de lui un meurtrier. En effet, lors d’un terrible accident de chasse il a ôté la vie à son oncle Aimeri, le comte du Poitou.
Il galope pour oublier.
Si seulement il pouvait oublier !
Il galope sur sa monture hors d’haleine qui l’accompagne au bout de la folie…
La chevauchée maudite débouche dans une clairière où soudainement le cheval se met au pas. Raymondin pose pied à terre… et il s’approche de la fontaine, comme hypnotisé.

– Je t’attendais, lui dit la fée. Il n’y a pas de mots qui puissent te consoler, pas d’actes qui puissent revenir contre le temps passé. C’est le destin, nous devons y faire face car c’est le lot de toute créature qui pense et qui respire au monde.

     Et Raymondin, en un clin d’œil, des profondeurs de la folie, des abîmes du désespoir, là où l’obscurité est si opaque que l’on s’y prend les pieds et que l’on tombe encore plus bas, et que l’on se relève pour tomber encore, et bien Raymondin est illuminé… par l’amour.

– Il faisait froid, dit-il. Mais cette étrange chaleur tout d’un coup… C’est vous ?
– Mais non, c’est toi !
– …
– Je m’appelle Mélusine. Je vais t’accompagner et nous allons nous marier, Raymondin. Mais avant, tu dois promettre, tu dois me jurer que jamais que tu ne chercheras à me voir le samedi. A cette seule condition nous serons heureux.

     Et Raymondin fait le serment attendu.
     Mélusine lui conseille de retourner à la cour du nouveau comte du Poitou et de lui dire toute la vérité sur l’accident de chasse. Raymondin écoute son conseil, on lui pardonne, et il obtient même pour son mariage le fief de Lusignan.
     Peut-être la fée a-t-elle tiré magiquement dans l’ombre les ficelles du destin en faveur de Raymondin… Qu’importe, les premières démonstrations au grand jour de ses pouvoirs sont spectaculaires : la nuit précédent les noces, elle bâtit une chapelle où a lieu la cérémonie et la forteresse de Lusignan dans laquelle le jeune couple s’installe.
Le bonheur est là, le pays est prospère.
     Chaque nuit, Mélusine fait construire des châteaux, des abbayes et des chapelles, au petit peuple de la terre. Gnomes, lutins, farfadets, korrigans, à son service, de quelques pierres et d’un peu d’eau érigent les tours, clochers, dressent vers le ciel édifices et villes entières avant que le soleil ne reprenne sa course. Vouvant, Mervent, les forteresses de Tiffauge, Talmont et Partenay, la tour de Saint-Maixent, les tours de garde de La Rochelle et de Niort, l’église de Saint-Paul-en-Gâtine, et bien d’autres… Toutes ont eut le même architecte : Mélusine. Et si un curieux surprend la bâtisseuse au travail, elle s’arrête et laisse le chantier en l’état. C’est pour cette raison qu’il manque une fenêtre à Merrigoute ou la dernière pierre de la flèche de l’église de Parthenay.
Personne ne s’étonne ! Comme si c’était normal…
Parfois aussi on entend son rire enfantin qui soulage les peines les plus lourdes à porter.
     L’amour qu’elle partage avec Raymondin est sans faille, limpide comme l’eau de la fontaine de Sé. Elle lui donne dix fils !
Dix enfants bien étranges… Bizarres comme on dit…
Antoine porte à sa joue une griffe de lion, Guion a un œil plus haut que l’autre, Geoffroy avec sa dent de plus d’un pouce, Urian avec un œil rouge et l’autre pers, Oron aux oreilles phosphorescentes semblables à celles d’un chien, Froimond gros nez, Thierry l’homme-singe, Raymond qui est transparent, Armand haut-comme-trois-pommes, et Renon le plus grand mais dont la langue traîne par terre.
La famille est riche, alors on ne pose pas trop de questions…
Mais tout de même
A bien y regarder
Quand on réfléchit un peu
Ça saute aux yeux !
C’est pas normal !
Pas normal…
     Combien de Mataquas pourrissent le monde ? Combien de vipères…
Raymondin a un frère, le conte Forez.

– Ecoute-moi, mon frère, c’est le soucis de ton honneur et de ton renom qui a guidé mes pas. Ton bonheur seul m’importe et tu sais bien que je sacrifierais tout ce qui m’appartient pour toi. Ecoute-moi, mon frère, on jase en ville. Tes enfants, ta femme qui se cache une fois par semaine… M’est avis qu’elle pratique le coït, l’accorte bougresse, avec le démon !

     Raymondin est noble et fier, alors au tout début, il refuse d’écouter les paroles de son frère. Manquer à sa promesse, trahir la confiance, il n’en est pas question une seule seconde…
Mais deux secondes…
Le venin, distillé, purifié, corrosif, coule…
On jase en ville…
Tes enfants…
Ta femme…
L’accorte bougresse…
M’est avis qu’elle pratique le coït !
     Raymondin est noble et fier, alors il finit par douter. Sa confiance s’effrite. Un samedi, rongé jusqu’en son cœur crépitant, il se rend devant la porte interdite. Avec la pointe de son épée, il en perce le bois et il peut bientôt voir tout ce qui se trouve de l’autre coté.
Dans une immense cuve de marbre blanc, sa femme se baigne. Elle peigne ses longs cheveux, nue de la tête jusqu’au nombril. Dans l’eau trempe une gigantesque queue de serpent qui claque de temps à autres et projette des éclaboussures jusqu’à la voûte de la chambre.

– Trahison ! hurle Mélusine. Nous sommes, mon amour, tous deux damnés ! Toi parce que tu me perds à tout jamais et moi car je retourne au monde des esprits errants et sans abris !

Et elle disparaît par la fenêtre, comme une tornade, en poussant une longue plainte.
     On prétend qu’elle n’abandonna pas ses enfants pour autant, et qu’elle revint régulièrement la nuit s’occuper d’eux, jusqu’à ce qu’ils fussent en âge de se passer d’elle. Ils grandirent, et selon la prophétie de Persine, donnèrent naissance à d’illustres lignées.
Trois mois avant la mort de Raymondin, qui s’était fait ermite à Montserrat, Mélusine apparut à chacun d’eux ; vision d’une femme tourmentée et gémissante, tournoyant seule en peine dans le ciel. De nos jours, on l’aperçoit encore lorsqu’une forteresse de la famille est vendue, ou bien encore lorsqu’un des héritiers de ses fils est proche du trépas.
Âme damnée, âme perdue, âme en peine…
Mélusine, la fée rieuse, la fée bâtisseuse.
Mélusine la fée amoureuse.

Plus je dirai et plus je mentirai.
Le récit de la fête est déjà la moitié de la fête
Un mot dit à l’oreille est parfois entendu de loin
On gagne toujours à taire ce qu’on n’est pas obligé de dire
Méfiez-vous des histoires…

 

La fée Mélusine par Jean D’Arras

 

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…regardez où vous mettez les pieds…vous pourriez bien les croiser…

Les Farfadets

 

Le farfadet mesure une cinquantaine de centimètres, ridé, la peau mate. Il est très farceur, joue parfois des tours aux humains. Il aime à courir dans les prés, les champs de lavande. Parfois le farfadet s’installe près d’une maison et s’occupe de son entretien, ainsi que des animaux, du jardin… On dit également qu’il lui arrive de réparer des outils, des chaussures, des choses cassées. Pour tous les services qu’il rend, il apprécie un verre de lait, des gâteaux de miel, mais n’acceptera pas de nouveaux vêtements, en remplacement des haillons qu’il porte.

 

Ils vivent dans des galeries qu’ils creusent eux-mêmes. On raconte que les farfadets cachent leurs trésors dans le creux des chênes au pied des arcs-en-ciel. Les représentations les plus modernes de farfadets, notamment celles qui fleurissent au moment de la Saint-Patrick,montrent de petits bonshommes habillés tout en vert (ils correspondent alors aux leprechauns du folklore irlandais). Traditionnellement, cependant, le parfait petit farfadet porte une veste rouge aux boutons argentés rutilants, des bas bleus ou marine, d’épais souliers à grosse boucle argentée.

Ce sont de petits lutins domestiques français d’environ 40 cm à la force extraordinaire et au courage légendaire.

De taquins, bruyant et tapageurs, ils sont devenus silencieux. De fort en gueule, généreux, romantiques, ils sont devenus mesquins, sauf au contact des enfants auprès desquels ils retrouvent l’esprit du rêve et de l’aventure.

Ils peuplent l’Écosse, la Belgique, la suisse et la France. Sobres, ils boivent et mangent peu hormis un gargantuesque banquet qui a lieu tous les ans le jour de mardi gras en Vendée.

Minces, robustes, l’œil malicieux, les oreilles en pointe, le menton provoquant, la bouche goguenarde et volontaire, ils sont redoutés dans les foyers car ils n’hésitent pas à détruire jardins et intérieurs.

Ils entrent dans les maisons, puisent dans la bière, enduisent de savon noir les marches des escaliers, écoutent et divulguent les secrets. Une croix sculptée dans une pierre volcanique les fait fuir.

 

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L’equinoxe d’automne…

Mabon

Equinoxe d’automne, Mabon (Dieu celte), Feast of Avalon, Wine Harvest, Winter Finding (Teutonique), Cornucopia, Alban Elfed.
C’est le début de l’année noire et c’est la fête des pommes (Avalon), du vin et du raisin (c’est la saison).

 

Histoire 

Comme les autres équinoxes et soltices, les célébrations sont assez proche de la fête celtique précédente, c’est à dire de Lugnasad. Espoir comblés, moissons, dégustation, joie etc. On fête les Dieux des moissons et des récoltes.
Les périodes de jour deviennent égales aux périodes de nuit.
Toutes les traditions de cette période se rapportent aux moissons et en font une fête agraire avec peu d’aspects rituels ou sacerdotaux.

 Actes 

Si vous voulez pratiquer la magie, les sorts de protection, richesse, prospérité, sécurité sont particulièrement à propos ainsi que les sorts pour accroître la confiance en soi ou ceux qui équilibrent les énergies d’une pièce ou d’un endroit quelconque. Vous pouvez disperser des feuilles mortes sur l’autel ou sur le sol lors du rituel.

   

Proposition d’activités 

Fleurir des tombes, faire du vin, ramasser des cosses et des plantes sèches dans la forêt (pour décorer la maison, l’autel ou pour des pratiques magiques), c’est un sacrilège de ne pas honorer les morts si on passe devant un cimetière, travaux de décoration avec des feuilles séchées, faire un tour du jardin, s’en occuper et remercier la nature, récolter tout ce qui peut l’être, faire un mandala de graines et de grains sur le sol, faire une offrande à la Mère Nature et aux animaux, honorer les personnes âgées, faire un repas spécial et inviter vos amis, faire du pain en forme de soleil, faire de la bière, partager l’abondance avec amis et voisins sans jardin, rassembler des vêtements ou de la nourriture pour des œuvres, faire des promenades en forêt seul ou entre amis, discuter de ces actes passés, ramasser des éléments naturels pour décorer…

  

Plantes 

Vigne, lierre, cèdre, noisetier, tabac, houblon, gland, aster, benjoin, fougère, chèvrefeuille, souci, asclépiade, myrrhe, feuilles de chêne, passiflore, chrysanthèmes, pin, rose, sauge…

      

Couleurs

Rouge, orange, marron, brun, violet, roux, jaune

      

Encens

Utilisez la base verveine/oliban citée plus haut y ajouter de la poudre de cèdre, de noisetier, du benjoin, myrrhe, poudre de pin, de la mousse de chêne sèche, feuilles de chêne sèches, baies de genièvre en poudre etc. Suivez les indications plus haut, pour faire de l’huile, si vous en voyez l’utilité dans votre célébration de la fête.

 

   

Nourriture

Tout ce que l’on récolte à cette période de l’année: fruits, légumes, grains, maïs, pain de maïs, courge cuite, haricots, grenades, pommes, noisettes et noix, racines comme les carottes, les pommes de terre, oignons…

 

 

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Le roi Arthur en lumière…

Le roi Arthur…une legende en devenir

Depuis le 15 juillet et jusqu’au 4 janvier 2009, le centre culturel Les Champs Libres à Rennes est l’hôte d’une exposition exceptionnelle sur le roi Arthur et les mythes qui l’entourent.

Regroupant de nombreux écrits (dont certain sont révélés au public pour la première fois), des lithographies, des tableaux, etc… cette exposition est la première de telle ampleur jamais réalisé autour du mythe arthurien.

Pour y avoir été moi-même je vous la conseille vivement si comme moi vous êtes fan de cet univers. L’exposition est extrêmement intéressante et bien présenté et les ouvrages sont d’une rare beauté pour certains.

 

Les Champs Libres se situent 10 cours des Alliés à Rennes (proche de la gare sncf et routière). Si vous voulez de plus infos allez sur leur site :

http://agenda.leschampslibres.fr/

 

 

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Victoire!!!!!!

Bonjour à tous les amis bloggeurs!!
 
Et oui vous ne rêvez pas je suis de retour sur la toile…car j’ai eu mon diplôme!!
Vous n’imaginez pas à quel poinbt cela peut être euphorisant!
Je veux remercier toutes celles et ceux et qui ont continué à visiter les terres d’Avalon malgré mon silence forcé de ces derniers mois.
 
Mais à partir de ce soir Cerridwen revient en ces lieux pour dissiper à nouveau les brumes de ces terres sacrées et vous y guider!
 
Je suis ecstatique à l’idée de poster à nouveau et de vous retrouver les amis.
J’ai beaucoup de nouvelles idées et je pense que l’image du blog sans changer fondamentalement va subir quelques changements.
 
Je vous souhaite à toutes et à tous une excelelnte soirée et vous embrasse bien fort!
 
Cerridwen
 
 
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Une fille incroyable…une vraie amie

Bonjour les amies,
Non je ne redémarre pas encore mon blog, oui je suis toujours en plein dans mes révisions pour le rattrapage.
Mais là je veux poster un cadeau de quelqu’un cher à mon coeur, que j’aime beaucoup.
Je veux parler de notre jolie fée gothique Mélie.
C’est une fille extraordinaire à qui je souhaite un bonheur sans fin car elle le mérite.
Et sa créa était trop belle pour que je la garde égoïstement pour moi.

Gros bisous Mélie et encore merci!
 
 

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